En ce 1er novembre, le juge John Gomery vient de rendre son rapport sur le scandale des commandites qui a provoqué un séisme politique depuis deux ans au Canada, et qui a mené à un gouvernement minoritaire libéral aux dernières élections fédérales. En somme, les conclusions pointent les accusations vers l'ancien premier ministre Jean Chrétien et son cabinet libéral.
Politiquement, le pays est dans un blocage avec des demi-mesures et des effets d'annonce par le gouvernement de Paul Martin, qui tente de courtiser tout le monde au pays en prévision des élections qui seront probablement déclenchées au printemps prochain.
Il serait naïf, pour ne pas utiliser un autre mot, de croire que Paul Martin, ministre des finances à l'époque du dit programme, n'eût rien remarqué, et pour cause: il s'agissait d'une enveloppe de plusieurs centaines de millions de dollars! De deux choses l'une: il est rentré dans le rang et fermé les yeux sur les programme, ou comme il le prétend, il n'a rien vu passer, ce qui serait pire car ça serait signe d'incompétence.
D'un point de vue politique, ma plus grande frustration va vers le Bloc Québécois qui se retrouve finalement l'allié objectif des libéraux depuis sa création. En effet, de par le poids démographique, le Québec reste une des clés de réussite pour prendre le pouvoir à Ottawa. Or dans la province, et depuis l'apparition du Bloc au début des années 1990, l'alternance aux élections fédérales se fait uniquement entre libéraux et bloquistes, les conservateurs ayant du mal à percer dans ce coin du pays.
Il n'y a qu'au Québec où on peut trouver assez d'imbéciles pour voter pour un parti qui n'a d'autre prétention que de bloquer le parlement fédéral, en attendant une séparation utopiste. Entre temps, les libéraux se pavanent car ils savent qu'ils peuvent compter sur le Bloc pour continuer à faire comme si le Canada leur appartient.
Voilà pourquoi je dis à M. Gilles Duceppe: d'aller se faire voir ailleurs avec sa démagogie de merde! L'indépendance du Québec ne peut se faire qu'à travers un référendum dans la province, et le seul rôle politique que joue le Bloc actuellement est d'ouvrir la porte pour un énième mandat pour les libéraux.
A bon entendeur...
Politiquement, le pays est dans un blocage avec des demi-mesures et des effets d'annonce par le gouvernement de Paul Martin, qui tente de courtiser tout le monde au pays en prévision des élections qui seront probablement déclenchées au printemps prochain.
Il serait naïf, pour ne pas utiliser un autre mot, de croire que Paul Martin, ministre des finances à l'époque du dit programme, n'eût rien remarqué, et pour cause: il s'agissait d'une enveloppe de plusieurs centaines de millions de dollars! De deux choses l'une: il est rentré dans le rang et fermé les yeux sur les programme, ou comme il le prétend, il n'a rien vu passer, ce qui serait pire car ça serait signe d'incompétence.
D'un point de vue politique, ma plus grande frustration va vers le Bloc Québécois qui se retrouve finalement l'allié objectif des libéraux depuis sa création. En effet, de par le poids démographique, le Québec reste une des clés de réussite pour prendre le pouvoir à Ottawa. Or dans la province, et depuis l'apparition du Bloc au début des années 1990, l'alternance aux élections fédérales se fait uniquement entre libéraux et bloquistes, les conservateurs ayant du mal à percer dans ce coin du pays.
Il n'y a qu'au Québec où on peut trouver assez d'imbéciles pour voter pour un parti qui n'a d'autre prétention que de bloquer le parlement fédéral, en attendant une séparation utopiste. Entre temps, les libéraux se pavanent car ils savent qu'ils peuvent compter sur le Bloc pour continuer à faire comme si le Canada leur appartient.
Voilà pourquoi je dis à M. Gilles Duceppe: d'aller se faire voir ailleurs avec sa démagogie de merde! L'indépendance du Québec ne peut se faire qu'à travers un référendum dans la province, et le seul rôle politique que joue le Bloc actuellement est d'ouvrir la porte pour un énième mandat pour les libéraux.
A bon entendeur...