Opinion ★★★★☆
Je l'avoue, j'ai fini par commettre l'impardonnable: pour la première fois de ma vie je suis allé voir un James Bond au cinéma. En fait, c'est la première fois que j'ai regardé un James Bond du début à la fin!
La raison? Tout simplement la stupidité des adaptations au cinéma du héros de Ian Fleming jusqu'à présent que résument parfaitement les parodies Austin Powers: des "méchants" invraisemblables, des gadgets qui frôlent le ridicule, sans parler des répliques de séduction auxquelles seules des femmes d'un Q.I. de 2 pourraient réagir.
Vous l'aurez compris, rien ne me prédestinait à aller voir Casino Royale, sauf deux choses: Paul Haggis qui a écrit le scénario, et qui accumule les projets ces derniers temps à Hollywood, et Daniel Craig (James Bond) dont j'ai apprécié l'excellente interprétation dans dans Layer Cake et Munich.
Le résultat fut à la mesure de mes attentes: un James Bond plus sombre, humain qui commet des erreurs. L'histoire est bien construite entre une bonne intrigue et de l'action est axée sur le combat de rue que les gadgets électroniques, et du sarcasme dans les dialogues entre Bond et Vesper Lynd interprétée par la belle Eva Green (Kingdom of Heaven, The Dreamers).
Certains diront que le James Bond version 2006 rejoint la réalité de l'après 11 septembre 2001, dans laquelle l'espionnage de l'époque anti-soviétique ne correspond plus aux menaces terroristes d'aujourd'hui où le renseignement humain serait être la clé de la réussite.
Quoi dire de plus, allez-y, un excellent divertissement qui tranche avec les précédents Bond. Si j'ai apprécié ce James Bond, c'est que vous pourrez aussi.
Je l'avoue, j'ai fini par commettre l'impardonnable: pour la première fois de ma vie je suis allé voir un James Bond au cinéma. En fait, c'est la première fois que j'ai regardé un James Bond du début à la fin!
La raison? Tout simplement la stupidité des adaptations au cinéma du héros de Ian Fleming jusqu'à présent que résument parfaitement les parodies Austin Powers: des "méchants" invraisemblables, des gadgets qui frôlent le ridicule, sans parler des répliques de séduction auxquelles seules des femmes d'un Q.I. de 2 pourraient réagir.
Vous l'aurez compris, rien ne me prédestinait à aller voir Casino Royale, sauf deux choses: Paul Haggis qui a écrit le scénario, et qui accumule les projets ces derniers temps à Hollywood, et Daniel Craig (James Bond) dont j'ai apprécié l'excellente interprétation dans dans Layer Cake et Munich.
Le résultat fut à la mesure de mes attentes: un James Bond plus sombre, humain qui commet des erreurs. L'histoire est bien construite entre une bonne intrigue et de l'action est axée sur le combat de rue que les gadgets électroniques, et du sarcasme dans les dialogues entre Bond et Vesper Lynd interprétée par la belle Eva Green (Kingdom of Heaven, The Dreamers).
Certains diront que le James Bond version 2006 rejoint la réalité de l'après 11 septembre 2001, dans laquelle l'espionnage de l'époque anti-soviétique ne correspond plus aux menaces terroristes d'aujourd'hui où le renseignement humain serait être la clé de la réussite.
Quoi dire de plus, allez-y, un excellent divertissement qui tranche avec les précédents Bond. Si j'ai apprécié ce James Bond, c'est que vous pourrez aussi.